Liévin : Cette maman appelle à l’aide, elle a besoin de 100 000 euros pour sauver la vie de sa fille

Liévin : Cette maman appelle à l’aide, elle a besoin de 100 000 euros pour sauver la vie de sa fille

Depuis que le diagnostic est tombé il y a un mois, la mère de famille cherche par tous les moyens des solutions contre cette maladie rare et normalement incurable

Je me sens complètement perdue, ça nous est tombé dessus du jour au lendemain », analyse cette Liévinoise qui semble désemparée face à la situation. Kadougia Ben Addi, 35 ans, est maman de deux filles dont Tessa, huit ans, tombée gravement malade depuis quelque temps. « Depuis la rentrée, elle se plaignait de maux de tête récurrents, des problèmes de vue, des vomissements… Ce n’était que ponctuel mais elle était souvent malade», raconte d’abord la mère de famille.

Vers un traitement expérimental

Après avoir voulu prendre un rendez-vous avec un ophtalmologue pour les problèmes de vue de sa fille, la mère de famille est redirigée vers un orthoptiste : « je pensais qu’elle ne voyait pas bien et qu’elle allait devoir porter des lunettes. Mais l’orthoptiste m’a dit que des symptômes comme ceux-là n’étaient pas normaux, et m’a fait un courrier pour les urgences. »

Après des passages aux urgences de Lens puis Lille, le verdict tombe le 12 décembre à l’issue d’une IRM : Tessa a des lésions cérébrales et doit être opérée en urgence. Après une petite semaine d’hospitalisation, la famille est renvoyée chez elle juste avant les fêtes. « Elle a bien réagi à une biopsie alors on a pu rentrer le 23 décembre. Les médecins m’ont dit de vivre normalement en attendant les résultats, mais comment vivre normalement après ça ? », se lamente Kadougia Ben Addi.

Je me sens complètement perdue, ça nous est tombé dessus du jour au lendemain », analyse cette Liévinoise qui semble désemparée face à la situation. Kadougia Ben Addi, 35 ans, est maman de deux filles dont Tessa, huit ans, tombée gravement malade depuis quelque temps. « Depuis la rentrée, elle se plaignait de maux de tête récurrents, des problèmes de vue, des vomissements… Ce n’était que ponctuel mais elle était souvent malade », raconte d’abord la mère de famille.

Le 6 janvier, la mère apprend que sa fille souffre d’un gliome infiltrant du tronc cérébral (GITC) qui n’est pas opérable. « On nous a proposé un traitement pour repousser les symptômes, en essai clinique. Sur le moment, j’accuse le coup mais quand je comprends que ce n’est pas guérissable, j’ai l’impression que le monde s’est arrêté », confie la maman de Tessa.

Une cagnotte lancée

S’en suit un rendez-vous avec une oncologue lilloise, qui explique tout ce qu’il faut savoir à Kadougia Ben Addi : la maladie est rare et touche plutôt les enfants de 5 à 7 ans, un remède est encore à l’étude contre cette tumeur dite « agressive » et surtout, l’espérance de vie moyenne n’est que de deux ans. « Après ce rendez-vous, j’étais anéantie, raconte la mère de famille. Avec ma famille, on cherche des témoignages ou d’autres traitements. On a trouvé des choses sur Internet mais ce n’est pas concret, on n’a pas de contact pour l’instant. »

D’autres essais cliniques auraient lieu aux États-Unis et aux Pays-Bas, mais celui proposé par les médecins sera soit celui utilisé actuellement en France, soit le traitement américain. Depuis, la nouvelle a été partagée sur les réseaux sociaux et a ému beaucoup de personnes. « Ma sœur a décidé de lancer une cagnotte pour nous aider car tous les frais seront à notre charge, que ce soit pour améliorer le quotidien de Tessa ou essayer de la guérir. Beaucoup d’amis, de collègues ont partagé la cagnotte et viennent nous aider à coller des affiches, je ne pensais pas qu’il y aurait un tel élan de solidarité », reconnaît la Liévinoise.

Pour l’heure, la cagnotte a déjà récolté plus de 4000 euros. Mais avec ou sans argent, la mère de famille affirme « faire tout ce que je peux pour ma fille » avant de lancer le traitement. « Tout ça est très dur à gérer pour elle aussi, il faut la soigner au plus vite. Je me dis que je vais perdre ma fille alors que je ne peux rien faire, et le corps médical non plus. S’il faut trouver un autre traitement ou aller jusqu’aux États-Unis, je le ferai », conclut Kadougia Ben Addi.

L’AVENIR DE L’ARTOIS – l’article  ici

Lien vers la cagnotte ici

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Lomme : du théâtre et un soutien pour les associations Warrior Enguerrand et Handilom

Lomme : du théâtre et un soutien pour les associations Warrior Enguerrand et Handilom

Le Rotary Club Porte des Flandres a organisé, dans la salle Agora, à Santes, une soirée théâtrale avec la complicité de la compagnie Grim d’folie.

Devant une salle comble, les comédiens ont interprété une pièce d’Éric Assous : « L’heureux élu », une comédie pleine de verve, aux dialogues percutants et aux rebondissements multiples.

Ce spectacle était présenté au profit de deux associations, Warrior Enguerrand, qui aide à la recherche contre les cancers des enfants, et Handilom, une association lommoise qui aide les personnes en situation de handicap en organisant des sorties et loisirs adaptés. Ce sont, prochainement des chèques conséquents qui pourront être remis aux deux associations.

Il félicita aussi Victor Martins-Flipe, président d’Handilom, et les animateurs de Warrior Enguerrand pour leur engagement.

LA VOIX DU NORD – l’article  ici

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Un couple offre 40 millions pour la recherche sur le cancer pédiatrique

Un couple offre 40 millions pour la recherche sur le cancer pédiatrique

Le père d’un jeune garçon mort du cancer en 1989 et sa femme ont fait un don de 40 millions au CHU Sainte-Justine pour la recherche pédiatrique. Il s’agit du plus grand don fait à un centre hospitalier au Québec.

Le fils de Michel LANTEIGNE, Benoit, est mort à l’âge de 8 ans d’une leucémie. Plus de 30 ans plus tard, le couple de donateurs souhaite que son don ait « un impact grandiose sur la recherche pédiatrique ».

« Depuis des années, nous réfléchissions à notre héritage. Nous voulions plus qu’un legs testamentaire, nous voulions voir des résultats de notre vivant », a déclaré la donatrice, Diane Blais. Le don permet également au couple « de donner une deuxième vie » au jeune Benoit, estime M. LANTEIGNE.

La somme de 40 millions est destinée au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine. Le bâtiment des unités spécialisées du CHU Sainte-Justine portera désormais le nom de l’enfant, Benoit LANTEIGNE.

Investir dans les traitements novateurs

Une partie du don sera consacrée à la création d’un fond pour la recherche de traitements novateurs en hémato-oncologie, qui sera mis en place dès 2023. « Si on a une nouvelle idée [de traitement], on veut pouvoir la tester immédiatement et dès qu’on a une idée validée, on veut pouvoir l’amener au chevet du patient », a indiqué à La Presse le Dr Jacques L. MICHAUD, directeur du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine.

À l’heure actuelle, le taux de guérison des enfants atteints d’un cancer peine à dépasser 80 %. « Il y a des cancers que l’on n’arrive toujours pas à traiter et qui résistent à tout. L’espoir des nouvelles technologies, c’est de pouvoir creuser ce qui se passe et de développer des thérapies qui vont changer les choses », a déclaré le Dr MICHAUD.

Les traitements actuels peuvent également engendrer de sérieux effets secondaires à court, moyen et long terme. « Ce sont des traitements tellement durs. C’est épouvantable, ce qu’on fait vivre à ces enfants-là. Ce qu’on espère, c’est que les traitements novateurs continuent de sauver des enfants, mais aussi qu’ils soient moins invasifs », a confié Michel LANTEIGNE.

Le couple espère que son don encouragera d’autres Québécois à faire de même. « Il y a encore beaucoup d’autres projets de recherche qui nécessitent du financement », lance Mme Blais.

PRESS.CA – l’article  ici

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New clinical trial uses immunotherapy to treat Diffuse Intrinsic Pontine Glioma (DIPG)

New clinical trial uses immunotherapy to treat Diffuse Intrinsic Pontine Glioma (DIPG)

CHOC neuro-oncologist initiated a clinical trial to test a vaccine for DIPG, a rare and devastating cancer.

 Pediatric oncology program supports novel clinical trials for DIPG

In collaboration with Ann & Robert H. Lurie Children’s Hospital of Chicago, Dana Farber Cancer Institute and Alberta Children’s, the Hyundai Cancer Institute at Children’s Health of Orange County (CHOC) is enrolling patients in an investigator-initiated phase 1 clinical trial to evaluate the safety and efficacy of a novel vaccine in combination with antibodies designed to potentiate the immune system to treat diffuse intrinsic pontine glioma (DIPG), a uniquely devastating disease. The development marks a groundbreaking approach to treating DIPG in kids.

 DIPG: A devastating diagnosis

A unique brain tumor for which oncologists can currently offer no options for curative treatment, DIPG has a 1% five-year survival rate. The median overall survival is only 12 months. To find a treatment for DIPG, CHOC is supporting the testing of a new vaccine and combined immunotherapy.

During her tenure as pediatric neuro-oncologist and section head of neuro-oncology at CHOC, Dr. Ashley S. Plant-Fox, current A.M. Khokhar Research Scholar and neuro-oncologist at Lurie Children’s Hospital of Chicago and Assistant Professor of Pediatrics at Northwestern University Feinberg School of Medicine, developed the clinical trial protocol and secured funding. Dr. Plant-Fox worked in collaboration with Dr. Josephine HaDuong, also of CHOC.

Dr. Plant-Fox is working with Agenus, a biotechnology company focused on cancer immunotherapy, to provide a neo-antigen heat shock protein vaccine known as rHSC-DIPGVax with the adjuvant STIMULON™ QS-21 Solution in combination with anti PD-1 (balstilimab) and CTLA-4 (zalifrelimab) antibodies. The vaccine is designed to stimulate T-cells to attack specific neo-antigen markers present in 80% of DIPG cases. Enrollment for the phase 1 clinical trial is ongoing, with sites at CHOC, Lurie Children’s Hospital and Dana-Farber.

 A unique challenge

DIPG presents rapidly, with patients typically experiencing just two to three weeks of symptoms that appear most commonly around ages 5 to 8. Symptoms can include sudden neurologic changes, such as:

Difficulty moving one side of the face

Difficulty swallowing

Vision changes, such as double vision

Weakness on one side of the body

“A lot of other brain tumors will present with months of symptoms, but DIPG causes an acute decline of functioning,” Dr. Plant-Fox says. “The other uniquely devastating thing about DIPG is that it doesn’t form a mass somewhere in the brain.”

Instead, DIPG causes cancer cells to grow diffusely and intrinsically into the brain stem, expanding the brain stem and compressing structures in that area. Because of its growth pattern, it is impossible to separate the cancer cells from healthy structures, and therefore surgical resection is not possible.

A novel approach

In 2014, researchers published genetic sequencing results for DIPG tumors, a breakthrough allowing Dr. Plant-Fox to propose a new DIPG treatment hypothesis.

“According to the data on the genetic sequencing of DIPG tumors, around 80% share similar genetic profiles, one element of which is a histone mutation called H3 K27M,” Dr. Plant-Fox says. “Because the genetic changes are pretty limited in these tumors, we collaborated with Agenus to try to see if the vaccine backbone they were already using for adult tumors could be modified to use for DIPG.”

How the DIPG vaccine works

The rHSC-DIPGVax vaccine is made of a heat shock protein backbone which is formulated with 16 peptides that represent the different genetic alterations in DIPG.

“Some of those peptides correspond to the protein sequences related to the histone genetic alteration,” Dr. Plant-Fox says. “Our hope is when the vaccine is injected, it interacts with the immune system to teach the T-cells to attack those same markers present on the tumor in the brain as well as other common genetic markers present in this tumor type.”

We have learned that combination immunotherapy may help cancer vaccines be more effective. We will combine the vaccine treatment with monoclonal antibodies in subsequent treatment arms. Tumors can escape the immune system response by putting up an “off” signal for PD-1, a checkpoint blockade molecule. The anti-PD-1 antibodies can then bind to the checkpoint molecule and hinder its ability to turn off the T-cells. This can help promote the T-cell response to the vaccine.

“The vaccine is teaching the body to recognize markers of cancer,” Dr. Plant-Fox says. “In theory, the vaccine should also train cells that go on to surveil the rest of the body for cancer cells to keep it from coming back.”

Patients receive the vaccine approximately six to 10 weeks after radiation, after the immune system is primed to attack cancer cells.

Making leading-edge research happen at CHOC

Dr. Plant-Fox’s clinical trial to test a vaccine treatment for DIPG does not receive government funding and therefore could not have happened without CHOC donors, including RDL Charitable Trust, the Elerding Foundation, the Will Irwin Fund through the Pediatric Cancer Research Foundation, Team Jack Foundation, LiamBear Strong Fund, CHOC families and other private donors.

“The early funding was crucial in getting this clinical trial off the ground,” Dr. Plant-Fox says. “CHOC families and donors who support this trial made it possible for all the other sites to open as well.”

The current, first phase of the trial will assess the DIPG vaccine’s safety and efficacy. If the vaccine response proves tolerable in pediatric patients, researchers will move into a larger, phase 2 trial to gather enough data to determine whether it can effectively treat DIPG. The trial marks one of many phase 1 clinical trials the Hyundai Cancer Institute at CHOC has initiated.

CHOC – article  Here

Enguerrand réalisait son rêve grâce à Taxi 32

Enguerrand réalisait son rêve grâce à Taxi 32

Article du 6/12/2017

Enguerrand a rencontré son idole, Rafael Nadal

L’association Arc atlantique Taxis 32 a versé cet été, pendant un mois-et-demi, un pourcentage des courses effectuées par ses adhérents, soit 1 100 euros. C’était pour permettre à Enguerrand, un enfant de 13 ans très gravement malade, de réaliser son rêve. C’est chose faite et, le 1er décembre, Fabien Diaz, président de Taxis 32 et les 12 artisans taxis participants ont reçu Bénédicte de Viguerie et d’autres membres de l’association Rêves, dont le but est précisément de réaliser ces rêves, au château de Couloumé-Mondébat.

Cette initiative des artisans taxis de la région ne peut que bénéficier à leur image : ils montrent ainsi qu’ils sont touchés par le sort des malheureux, comme les enfants très gravement malades.

Piloté par Rêves (1), Enguerrand a donc rencontré Rafael Nadal qui lui a dédicacé une énorme balle de tennis. La joie qui se peint sur la photo d’Enguerrand combat la tristesse de son état de santé. C’est un événement qu’il n’oubliera pas.

L’association Rêves : de niveau national, l’association, reconnue d’intérêt général, réalise le vœu des enfants et adolescents très gravement malades, âgés de 3 à 18 ans. Selon Rêves, « La réalisation de leur rêve agit comme une bouffée d’air pur dans un présent difficile. C’est une force pour mieux envisager l’avenir ».

Rêves a été créée en 1994 et, à ce jour, plus de 5 000 enfants ont pu concrétiser leur vœu.

« Chaque rêve est unique et correspond au désir personnel de l’enfant ». L’association fait tout pour qu’il puisse rencontrer son idole, faire un voyage, aller dans un parc d’attraction, découvrir un métier etc.

Chaque année, de 250 à 300 enfants réalisent leur rêve grâce aux dons.

(1) Rêves Haute-Garonne, Maison des associations, 81, rue Saint-Roch – 31031Toulouse cedex 4 – courriel (reves31@reves-france.com) – site (www.reves.fr) – téléphone : 06 83 59 57 40.

LE JOURNAL DU GERS – L’article ici

In the jungle of treatments DIPG : guide for families

In the jungle of treatments DIPG : guide for families

The resources :

We recommend https://dipg.org which provides valuable information and helps in finding trials for DIPG.

https://www.drugs.com/drug_interactions.html also helped us to check for drug interactions.

Clinical trials :

– AMXT + DFMO : Dr. Ziegler’s trial combining DFMO and AMXT1501 is currently not available for teenagers over 12 years old and weighing more than 40 kg (at MD Anderson Hospital in Houston).

Currently given intravenously. I heard that the children’s process will be available in the second half of 2022 and managed by the Connect Consortium; here is the link to the process:

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05500508

This trial was tested on animals, then on adults and now on adolescents. The results of the laboratories show that it is the most promising but there is not yet much hindsight. Here is the email of the trial coordinator: jren1@mdanderson.org

⁃ CAR T CEL L: several trials have this target : Stanford, Seattle, Texas Children at Houston.

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04196413

https://www.seattlechildrens.org/research/

And the Texas Children’s one is led by Dr. Patricia Baxter. This can be a good solution. Lisa Ward’s son, Jace, participated in this process which extended his life for a long time. She is a very committed mother to the DIPG cause and you can read more about her son’s story and his struggle to contribute to research.

– ONC206 + ONC201 : If your child’s tumor is in the thalamus, you may be able to try ONC206 which is believed to stay in the brain longer and be more effective than ONC201, although it has not yet his proofs. You can email glioma@kispi.Yahoo.ch and they will tell you how to register for the trial: https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04732065

Dr. Arnold in Frankfurt also offers it outside of the trial and in combination with ONC201 (for a fee); his email: assistenz@dr-arnhold.com

– ONC201 : There is also ONC201 which has been working on some children for many years and is available. ONC201 is available in France at the Gustave Roussy Institute. He showed improvement in the treatment of tumors located in the thalamus, children more than 3, 4 or 5 years after diagnosis are still alive. Like for example Anatole (http://tousavecanatole.com).

– ONC201 and Paxalisib: https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05009992, also very promising treatment, there were spectacular tumor reductions in some children. This works best when the child has the PIK3CA mutation because Paxalisib’s therapeutic pathway is PI3K. Here are the emails of the people who take care of admissions for this process.

Rashmi.adhikari@ucsf.edu

Maria.Miranda@ucsf.edu

For the trial, newly diagnosed children are eligible. Relapsers are only eligible if they have not yet had their second radiotherapy. These people have to do it on the spot.

We hadn’t been able to get Paxalisib from Kazia Therapeutics, but maybe their advice has changed.

– EVEROLIMUS + RIBOCICLIB: if your child’s tumor is located in the brainstem (bridge or other), the combination of Everolimus and Ribociclib seems to be a good choice. There are survivors with this treatment for several years (it does not work on everyone but on some children yes, they are stable for more than 3, 4 or 5 years) like this child (https://www.facebook .com/heidi.varns) and this one too (https://www.facebook.com/bigmiraclelittlegirl). Note that the combination may work but everolimus alone did not save any children. It works best if the tumor is RB+. The trial is currently complete, it exists in compassionate access in the United States. There, American oncologists prescribe it to children because the drugs are FDA-approved and the cost is covered either by insurance or directly by families. In France, I don’t think an oncologist would be ready to prescribe it, but he can seek advice from specialists at the Cincinnati hospital. They will give indications on the doses to prescribe as well as the steps to follow. Here is the link to the process: https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT03387020

We tried this combination and it shrunk our child’s tumor. Unfortunately the tumor became resistant to the treatment and it no longer worked. Maybe it will work for your child. For Enguerrand, this allowed him to regain his physical faculties and he had no side effects with this treatment. We believe the lack of side effects was also due to him taking high doses of CBD and THC which increased the body’s tolerance to the drug and prevented vomiting. We had managed to get it with a foreign prescription (from any country) but had to pay for the drugs at the pharmacy.

This guide explains the trial, treatment options, side effects and everything there is to know about this combination; https://www.clinicaltrials.gov/ProvidedDocs/20/NCT03387020/Prot_SAP_000.pdf

and the doses are as follows:

– Dosage of Ribociclib (Kisqali): 170mg/m2 for 21 days then a break of 7 days. Each cycle lasts 28 days.

– Dose of everolimus (Afinitor): 1.5 mg/m2 per day

The m2 is your child’s BSA, which appears on their medical documents or it can also be calculated simply according to your child’s weight and height. To find each child’s dosage, multiply the dosages below by the child’s BSA. These assays are from the Cincinnati process.

Supplements:

Here is the list of supplements we ordered from https://pickvitamin.com and received from the United States. He took them every day. These are supplements and brands recommended by a research center specializing in DIPG.

– Pro-butyric acid targets histone mutations, specifically the H3K27m mutation.

– Berberine and the mixture of 17 mushrooms reduce the survival of DIPG cells.

– DHA and EPA are solvents. It was recently proven by an American DIPG laboratory that necrosis produces a substance that feeds the tumor and accelerates relapse. So ProDHA slows down relapse.

– Feverfew also fights DIPG cells. This discovery was made by Dr. Ziegler who formulated into the drug ACT001 which is administered in the United States, Australia and Canada.

– Boswellia extract reduces the glucose supply of glioma cancer cells and therefore limits their food intake.

Site that talks about the best supplements for gliomas:

https://www.glioblastomamultiforme.it/en/

For cannabis, more and more information points to the beneficial effects of cannabinoids in brain tumors, with CBD, legal, and THC, still illegal in France. More and more scientific articles are looking at the subject: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=thc+glioma

Some children with DIPG in the USA, and in New Zealand for the most publicized, have impressive results. Little Elyse diagnosed in 2016 lives only thanks to cannabis and other natural remedies.

https://www.facebook.com/SupportingElyse/about/?ref=page_internal

https://supportingelyse.weebly.com

New studies are beginning to mention CBG, which would be more interesting than THC, therefore legal and without the psychotropic effects. Another very interesting track. DIPG specialists Dr. Carl Koschmann and Dr. Matt Dun have done research on DPG cells in vitro and in Vivo that cannabis kills DIPG cells. It starts working well when you are at 180mg/m2/day of CBD. CBD boosts THC and helps relax muscles, fight seizures, and relieve symptoms.

There is the experimentation of therapeutic cannabis in France which allows to have some good medical and free treatments.

https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/cannabis-a-usage-medical/cadre-et-mise-en-oeuvre-de-lexperimentation-du-cannabis-medical

Diet :

For the diet, after reading a lot of interesting things on this subject and testing the ketogenic diet for a few weeks, we stopped because on the one hand it is quite complex to implement but above all certain studies show a possible negative effect on certain brain tumors with multiplied progression. When in doubt, we abstained and chose a diet that mixes the following different approaches:

– the low GI diet (low glycemic index), a complicated name which translates the simple idea which consists in limiting the peaks of glycemia induced by the consumption of sugars. This does not mean no sugar, fruits are a good source of carbohydrates, but to limit certain others, in particular the carbohydrates of white pasta for example.

https://www.passionnutrition.com/ig-bas-cest-quoi/tableaux-des-ig/

 

– the so-called Mediterranean or Cretan diet, which has proven anticancer properties, with an abundance of plants, quality fats and whole grains.

https://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/Regimes/Fiche.aspx?doc=mediterraneen_reg

No industrial foods, low in nutrients, harmful to the immune system, the microbiota and metabolism in general. Scientific evidence is mounting but regulation will take decades.

The objective is to use as much organic food as possible to avoid pesticides and preserve all the nutritional qualities of the products. The purpose of implementing this diet, which is already beneficial for a healthy person, is even better for a person whose body must draw on all its resources to fight cancer.

WARRIOR ENGUERRAND

Image source (Pixabay)