Cancers pédiatriques : l’omerta française sur la santé environnementale

Cancers pédiatriques : l’omerta française sur la santé environnementale

C’est une maladie qui ne fait pas souvent les gros titres. Pourtant, 500 enfants en France meurent chaque année d’un cancer, et ce nombre ne cesse d’augmenter. Il est la deuxième cause de décès infantile après les accidents. Malgré l’alerte des scientifiques et des associations, l’Etat persiste à nier les facteurs environnementaux.

 « Ce matin au petit-déjeuner, Alban m’a dit qu’il voulait faire un exposé sur le cancer pour l’école. Il voulait mon avis, alors je lui ai demandé comment il pourrait en parler, quels mots il utiliserait par exemple. Et là il se met à me parler de chimio, d’aplasie,  de bloc opératoire, de site, de ponction lombaire, de mielogramme… Il n’a que huit ans, ses préoccupations sont bien loin de celles d’un enfant de son âge ! »

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Semaine internationale de sensibilisation aux tumeurs cérébrales

Semaine internationale de sensibilisation aux tumeurs cérébrales

La 14e Semaine internationale de sensibilisation aux tumeurs cérébrales a lieu du samedi 24 octobre au samedi 31 octobre 2020.

Organisée par la International Brain Tumour Alliance, la Semaine internationale de sensibilisation aux tumeurs cérébrales offrent l’opportunité d’attirer l’attention de la population sur les défis vécus par les gens touchés par une tumeur cérébrale et sur la nécessité d’encourager la recherche dans le domaine.

Nous sommes fiers de soutenir cet effort depuis de nombreuses années. Découvrez toutes les façons dont vous pouvez vous impliquer.

La fondation canadienne des tumeurs cérébrales –  cliquez  ici

Le combat de Maïly, 4 ans, atteinte d’un cancer du cerveau incurable

Le combat de Maïly, 4 ans, atteinte d’un cancer du cerveau incurable

La petite fille de 4 ans est atteinte d’un gliome infiltrant du tronc cérébral, un cancer incurable du cerveau qui ne lui laisse que trop peu de temps à vivre. Une solidarité hors norme vient de se mettre en place dans le canton et au-delà pour soutenir ses parents. C’est une histoire dont on sait que l’issue sera inéluctablement tragique. Malheureusement.

Depuis son plus jeune âge, Maïly se plaint d’affreuses migraines mais pas de quoi affoler le corps médical. Mélodie, la maman, sent bien qu’il y a autre chose que de simples maux de tête.

La semaine dernière, alors que Maïly souffre atrocement, les parents se rendent à l’hôpital de Narbonne pour de nouveaux examens. Sous la pression de ces derniers, les médecins approfondissent les examens et décident d’envoyer l’enfant en urgence à la clinique Gui-de-Chauliac à Montpellier. Après un scanner et une IRM, le diagnostic tombe. Maïly souffre d’un gliome infiltrant du tronc cérébral, un cancer incurable du cerveau qui ne lui laisse que trop peu de temps à vivre. Entre 9 et 24 mois selon les estimations des médecins. Un coup « d’assommoir » pour les parents. Bien sûr, des traitements ont été proposés, afin de combattre la maladie. Mais devant la souffrance de leur fille, suite à la biopsie qui venait confirmer le diagnostic de l’imagerie, ses parents, Florian Petit et Mélodie Balzano, ne souhaitent pas « un acharnement thérapeutique » pour leur fille.

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Cancers pédiatriques : « la France doit continuer de guérir plus et mieux »

Cancers pédiatriques : « la France doit continuer de guérir plus et mieux »

Saint-Rogatien, Saint-Pazanne, Morbier, Morez… Alors que la concentration de cancers pédiatriques dans de petites zones géographiques mobilise parents, politiques et agences de santé, les médias mettent régulièrement en lumière ces pathologies rares.

Le Professeur Gilles Vassal, pédiatre et oncologue spécialisé dans le développement de nouvelles thérapies, dresse l’état des connaissances scientifiques sur les cancers de l’enfant.

 Avec l’opération de communication “Septembre en Or”, l’institut Gustave-Roussy a sensibilisé aux cancers pédiatriques pendant tout le mois de septembre. Est-ce une bonne chose selon vous ? 

Oui, car les cancers pédiatriques ont besoin d’être médiatisés. Même si ce sont des pathologies rares contre lesquelles nous avons beaucoup progressé, elles constituent la première cause de décès chez l’enfant par maladie. Par ailleurs, si quatre enfants sur cinq guérissent aujourd’hui de leur cancer, ces pathologies et leurs traitements engendrent des complications à long terme, sur lesquelles il faut s’améliorer. La France doit guérir plus et mieux, en intensifiant la recherche et l’innovation. Il s’agit aussi de s’attaquer aux inégalités d’accès aux traitements qui sévissent en Europe. Pour toutes ces raisons, les cancers pédiatriques sont un vrai problème de santé publique, qui doit mobiliser l’opinion, ce à quoi l’institut Gustave-Roussy s’emploie depuis 2012.

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“Il ne se passe pas six mois depuis 2015 sans qu’un enfant déclare un cancer!”

“Il ne se passe pas six mois depuis 2015 sans qu’un enfant déclare un cancer!”

À Sainte-Pazanne et dans les communes alentour, le collectif “Stop aux cancers de nos enfants” s’inquiète face aux nombreux cas de cancers pédiatriques : 22 ont été recensés jusqu’ici. Saisis en 2019, Santé publique France et l’Agence régionale de santé ont publié, mercredi 23 septembre, un communiqué annonçant l’absence de foyers et de cause commune à ces cancers. Marie Thibaud, fondatrice du collectif, rappelle sa détermination à trouver des explications.

Vingt-deux cas de cancers pédiatriques concentrés dans seulement quelques communes, sans que l’on ne trouve qu’explications. C’est la situation que vivent des parents de Sainte-Pazanne et des communes alentour, en Loire-Atlantique. Dans leur rapport du 23 septembre, l’Agence régionale de santé des Pays de la Loire et Santé publique France indiquent qu’il n’y avait pas de “situation singulière en terme de cancer sur le secteur concerné.” Une explication qui ne satisfait pas Marie Thibaud, la fondatrice du collectif “Stop aux cancers de nos enfants”.

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