15 février 2025 – Journée internationale du cancer de l’enfant

15 février 2025 – Journée internationale du cancer de l’enfant

Le cancer chez l’enfant est la première cause de mortalité dans les pays développés, par maladie !

Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mais aussi les soins et la recherche.

La stratégie de lutte contre les cancers 2025-2030 :

Les cancers pédiatriques font, de longue date, partie intégrante des plans gouvernementaux, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles. Cet effort se poursuit avec la nouvelle stratégie mise en place.

En France, plus de 3000 nouveaux cas dénombrés chaque année chez les enfants de zéro à 18 ans (Source CPAM).

Le cancer chez l’enfant est une maladie grave qui représente 1 à 2 % de l’ensemble des cancers. Et 3500 nouveaux cas pour la tranche de zéro à 25 ans sont dénombrés chaque année ! (source Inca).

Certaines formes de cancers sont spécifiques à l’enfant et, inversement, la plupart des cancers de l’adulte n’existent pas chez l’enfant.

Les facteurs favorisant le développement du cancer ont été clairement identifiés chez l’adulte (alcool, tabac, produits toxiques, virus, etc.), mais ces cause sont très rarement présentes chez l’enfant : seulement 5% serait d’origine génétique d’après l’Institut National du Cancer, et le reste?

Les autres facteurs de risques sont liés à l’exposome, c’est à dire à la somme des expositions aux facteurs environnementaux !

Les traitements ont fait des progrès considérables au cours des dernières décennies et on atteint aujourd’hui un taux de « guérison » de 80%. Mais les récidives concernent un enfant sur deux !

On doit pouvoir faire beaucoup mieux, ensemble, pour repousser les limites des #cancerspediatriques !

Les enfants sont notre avenir !

On compte sur vous.

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MARIE-ANNE DEBILY, UN ESPOIR POUR LES CANCERS DU CERVEAU CHEZ L’ENFANT

MARIE-ANNE DEBILY, UN ESPOIR POUR LES CANCERS DU CERVEAU CHEZ L’ENFANT

La quadragrénaire charentaise, qui a grandi à Soyaux, travaille à l’institut Gustave-Roussy, dans une équipe qui décode un cancer du cerveau incurable chez les enfants. Et qui fait des pas de géant.

Enseignante et chercheuse à l’institut Gustave-Roussy à Paris, Marie-Anne Debily travaille à trouver un traitement pour un cancer du cerveau incurable chez les enfants, le gliome infiltrant du tronc cérébral. Onze mois après la découverte de la tumeur, 50 % des enfants décèdent ; au bout de deux ans, c’est la quasi-totalité.

L’ancienne lycéenne de Guez-de-Balzac, qui a grandi à Soyaux, est une spécialiste de la génomique, l’étude des gènes à large échelle qui a déjà permis des progrès importants dans la compréhension et le traitement des cancers.

Dans le laboratoire de l’institut, elle a mis au point, avec ses collègues, un traitement expérimental sur-mesure qui a permis de faire totalement disparaître la tumeur chez Lucas, 14 ans aujourd’hui. Un miraculé.

Aujourd’hui, l’équipe cherche à reproduire in vitro ce qu’elle a constaté chez le garçon pour comprendre quelles mutations cellulaires l’ont rendu réceptif au traitement et imaginer le dupliquer à grande échelle.

Le second essai médical en cours concerne désormais 360 enfants.

CHARENTE LIBRE – l’article ici

Image Pixabay

Essai d’un nouveau vaccin pour les enfants atteints du DIPG

Essai d’un nouveau vaccin pour les enfants atteints du DIPG

Le gliome pontin intrinsèque diffus, connu sous le nom de DIPG, est un type rare et agressif de cancer pédiatrique qui se forme dans le tronc cérébral, entraînant environ 200 à 300 nouveaux cas aux États-Unis chaque année. Heureusement, les chercheurs du Lurie Children’s Hospital ouvrent la voie à un traitement révolutionnaire pour les enfants atteints de DIPG. Dans cet épisode, les médecins du Lurie Children’s Hospital, le Dr Ashley Plant-Fox et le Dr Michael DeCuypere, discutent des progrès de cet essai clinique de phase 1, le premier du genre, pour le DIPG, ouvert depuis janvier 2022 et qui offre de l’espoir pour une maladie qui n’a actuellement aucune option curative.

Ashley PLANT-FOX 

« Le simple fait de pouvoir mener des essais cliniques sur cette tumeur rare offre beaucoup d’espoir aux familles qui, autrement, auraient pu entendre qu’il n’y avait rien d’encourageant. Je suis très fier que nous ayons plusieurs options pour les patients atteints de DIPG qui reçoivent ce diagnostic. »

Michael DECUYPERE 

« Nous sommes très précis dans nos biopsies. Cela dépend en grande partie de l’expérience du chirurgien dans la réalisation de ces biopsies et de sa capacité à choisir l’endroit le plus sûr possible qui vous donnera les réponses que vous souhaitez. »

Le DIPG est une tumeur du tronc cérébral, plus précisément du pont, qui survient chez les enfants âgés de 3 à 8 ans. Compte tenu de sa localisation précaire et de sa biologie, son taux de survie global à cinq ans est inférieur à 1 %.

L’apparition et la progression du DIPG sont très rapides, et se manifestent souvent initialement par des symptômes mineurs. Actuellement, les enfants ont tendance à vivre moins d’un an, mais ils reçoivent une radiothérapie pour prolonger leur vie autant que possible.

Les progrès de la technologie de biopsie ont permis aux chercheurs de recueillir des informations moléculaires beaucoup plus précises sur ces tumeurs, et de le faire de manière relativement sûre.

On suppose que le DIPG résulte d’une mutation génétique, la majorité des tumeurs étant provoquées par une mutation d’histone, en particulier l’histone 3.3 ou 3.1 avec une mutation K27M.

Contrairement aux vaccins contre les maladies infectieuses qui visent à prévenir la maladie, le nouveau vaccin DIPG en cours de développement et utilisé dans cet essai clinique est conçu pour apprendre rétrospectivement au système immunitaire à reconnaître la tumeur DIPG déjà présente chez les enfants.

Le vaccin associe une protéine de choc thermique à 16 peptides spécifiques au DIPG pour renforcer la reconnaissance des cellules cancéreuses par le système immunitaire. Les enfants reçoivent le vaccin comme n’importe quel autre vaccin.

Le Dr DeCuypere rencontre souvent les familles dans un premier temps pour discuter de leur souhait ou non de procéder à une biopsie de la tumeur pour un diagnostic officiel et, en outre, de leur souhait de faire participer leur enfant aux essais cliniques.

L’essai clinique se déroule principalement à l’hôpital pour enfants Lurie, mais des centres anticancéreux satellites proposent également l’essai. Il existe également des laboratoires spécialisés dans tout le pays qui effectuent des corrélats biologiques de l’étude sur le vaccin afin d’élargir la recherche.

Le Dr DeCuypere recommande une biopsie pour chaque patient atteint de DIPG. Non seulement les risques pour la santé sont plutôt faibles, mais les informations recueillies à partir des biopsies sont d’une aide précieuse pour le développement continu de traitements possibles pour le DIPG.

Bien que le financement gouvernemental ait certainement aidé la recherche sur le DIPG, les chercheurs affirment que le soutien financier des familles et des fondations a aidé à faire démarrer cette recherche.

LURIE CHILDRENS.ORG – Le site  ici

Image Pixabay

 

Salon du Chocolat 2024 : Un plaisir gourmand au service d’une noble cause

Salon du Chocolat 2024 : Un plaisir gourmand au service d’une noble cause

Depuis sa création en 2009 par le Club Rotary Lille Est, cet événement est devenu un incontournable pour les amateurs de chocolat et les défenseurs de causes nobles. Cette année encore, le Salon revêt une importance toute particulière : il se dresse comme un bastion de solidarité envers les enfants et les familles touchés par le cancer pédiatrique.

Mais au-delà du simple plaisir des papilles, chaque visiteur devient un héros anonyme, un bienfaiteur silencieux dans la lutte contre le cancer pédiatrique. Car pour le prix modique d’un ticket d’entrée, vous faites bien plus que savourer des douceurs chocolatées : vous apportez votre soutien concret à la recherche médicale, à l’espoir d’un traitement plus efficace et d’un avenir plus radieux pour ces enfants courageux et leurs familles.

Le Salon du Chocolat et de la Gourmandise 2024 n’est pas seulement une célébration de la gourmandise, mais aussi un acte d’amour et de solidarité. C’est une invitation à se réunir, à partager, à se régaler tout en tendant la main à ceux qui en ont le plus besoin.

Alors venez, laissez-vous séduire par la tentation du chocolat, et ensemble, faisons une différence dans la lutte contre le cancer pédiatrique. Chaque petit geste compte, chaque délicieuse bouchée fait avancer la recherche, et chaque sourire illuminera le visage d’un enfant.

Rendez-vous au Salon du Chocolat et de la Gourmandise 2024, où chaque plaisir est une promesse d’espoir pour un avenir plus doux et plus lumineux pour tous.

WARRIOR ENGUERRAND

Toutes les informations sur le Salon du Chocolat et de la Gourmandise 2024 ici

15 février 2025 – Journée internationale du cancer de l’enfant

15 février 2025 – Journée internationale du cancer de l’enfant

Le cancer chez l’enfant est la première cause de mortalité dans les pays développés, par maladie !

Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mais aussi les soins et la recherche.

La stratégie de lutte contre les cancers 2025-2030 :

Les cancers pédiatriques font, de longue date, partie intégrante des plans gouvernementaux, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles. Cet effort se poursuit avec la nouvelle stratégie mise en place.

En France, plus de 3000 nouveaux cas dénombrés chaque année chez les enfants de zéro à 18 ans (Source CPAM).

Le cancer chez l’enfant est une maladie grave qui représente 1 à 2 % de l’ensemble des cancers. Et 3500 nouveaux cas pour la tranche de zéro à 25 ans sont dénombrés chaque année ! (source Inca).

Certaines formes de cancers sont spécifiques à l’enfant et, inversement, la plupart des cancers de l’adulte n’existent pas chez l’enfant.

Les facteurs favorisant le développement du cancer ont été clairement identifiés chez l’adulte (alcool, tabac, produits toxiques, virus, etc.), mais ces cause sont très rarement présentes chez l’enfant : seulement 5% serait d’origine génétique d’après l’Institut National du Cancer, et le reste?

Les autres facteurs de risques sont liés à l’exposome, c’est à dire à la somme des expositions aux facteurs environnementaux !

Les traitements ont fait des progrès considérables au cours des dernières décennies et on atteint aujourd’hui un taux de « guérison » de 80%. Mais les récidives concernent un enfant sur deux !

On doit pouvoir faire beaucoup mieux, ensemble, pour repousser les limites des #cancerspediatriques !

Les enfants sont notre avenir !

On compte sur vous.

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