MARIE-ANNE DEBILY, UN ESPOIR POUR LES CANCERS DU CERVEAU CHEZ L’ENFANT

MARIE-ANNE DEBILY, UN ESPOIR POUR LES CANCERS DU CERVEAU CHEZ L’ENFANT

La quadragrénaire charentaise, qui a grandi à Soyaux, travaille à l’institut Gustave-Roussy, dans une équipe qui décode un cancer du cerveau incurable chez les enfants. Et qui fait des pas de géant.

Enseignante et chercheuse à l’institut Gustave-Roussy à Paris, Marie-Anne Debily travaille à trouver un traitement pour un cancer du cerveau incurable chez les enfants, le gliome infiltrant du tronc cérébral. Onze mois après la découverte de la tumeur, 50 % des enfants décèdent ; au bout de deux ans, c’est la quasi-totalité.

L’ancienne lycéenne de Guez-de-Balzac, qui a grandi à Soyaux, est une spécialiste de la génomique, l’étude des gènes à large échelle qui a déjà permis des progrès importants dans la compréhension et le traitement des cancers.

Dans le laboratoire de l’institut, elle a mis au point, avec ses collègues, un traitement expérimental sur-mesure qui a permis de faire totalement disparaître la tumeur chez Lucas, 14 ans aujourd’hui. Un miraculé.

Aujourd’hui, l’équipe cherche à reproduire in vitro ce qu’elle a constaté chez le garçon pour comprendre quelles mutations cellulaires l’ont rendu réceptif au traitement et imaginer le dupliquer à grande échelle.

Le second essai médical en cours concerne désormais 360 enfants.

CHARENTE LIBRE – l’article ici

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Son fils est atteint d’un cancer rare au cerveau, toute sa ville se mobilise pour l’aider

Son fils est atteint d’un cancer rare au cerveau, toute sa ville se mobilise pour l’aider

Les habitantes et habitants d’Auray (Morbihan) s’organisent pour soutenir Tité Millon, serveuse au bar des Halles. Son fils de 13 ans, atteint d’un cancer rare au cerveau, est soigné à Caen (Calvados). Une cagnotte a déjà récolté plus de 8 000 €, ce vendredi 19 juillet 2024.

Nous, on sait qu’elle est exceptionnelle. On a été touchées de voir que les gens le remarquent aussi.  Encore en tenue de cuisine après le coup de feu, Emilie Robin est émue lorsqu’elle évoque son amie et collègue Tité Millon, serveuse de longue date au Bistrot des Halles d’Auray (Morbihan). Depuis plusieurs semaines, sa présence manque dans la salle du restaurant. Tité est aux côtés de son fils Séraphin, atteint d’une tumeur au cerveau.

Un cas sans précédent pour les médecins

L’adolescent de 13 ans est soigné à Caen (Calvados), dans l’une des trois seules cliniques en France à pouvoir traiter sa maladie par proton thérapie, une radiothérapie ultra-précise. Plus adaptée aux jeunes patients, cette technique innovante permet de protéger les tissus sains et d’éviter les récidives.

 Tout est allé très vite », se remémore Marie-Cécile Monsellier, sœur et associée d’Emilie.  Séraphin a fait plusieurs malaises. Une IRM (imagerie par résonance magnétique) a détecté un astrocytome à un stade avancé.  Le diagnostic tombe le 16 avril. Après une opération à Rennes, Séraphin est orienté vers le service d’oncologie de Caen.  Les médecins disent qu’il n’y a pas de précédent. C’est une tumeur d’adulte dans un corps d’adolescent », expliquent les amies de la famille.

« Cette chaîne de solidarité, vous ne pensez pas que ça existe »

Pour suivre les soins de son fils, Tité Millon a dû quitter son travail. Cette mère qui élève seule ses deux garçons fait face à des difficultés pour revoir une aide en tant que parent aidant. Mais c’est sans compter sur l’incroyable chaîne de solidarité qui se met en place à Auray. Une première cagnotte physique est mise en place au Bistro des Halles, où il est toujours possible de déposer des dons. Caroline, une amie d’enfance de Tité, originaire de Carnac comme elle, lance la cagnotte en ligne « Tous avec Tité » sur la plateforme Gofundme. À ce jour, au vendredi 19 juiillet 2024, 8 432 € ont déjà été récoltés en ligne, pour que la famille n’ait pas à  se soucier du plan financier ».

 Notre rôle à nous, c’est de l’aider. Les mots et les attentions des clients, ça nous donne de la force pour la soutenir », assure Marie-Cécile Monsellier, émue aux larmes.  Cette chaîne de solidarité, vous ne pensez pas que ça existe », renchérit Emilie Robin. Les deux femmes, qui considèrent Tité Millon  comme une sœur », voient les gens participer à leur façon, comme ils peuvent ».

Des statues ont par exemple été créées par l’artiste Dan Santag.  Quand je lui ai dit pour Séraphin, il est parti d’un coup », se souvient Emilie Robin. Il revient avec des statuettes qu’il vient de modeler. Mises en vente au prix de 25 € au profit de la cagnotte pour la famille, elles ont toutes été vendues. Un autre client, taxi, décale son jour de congé pour effectuer le premier trajet de Séraphin et Tité jusqu’à Caen.

Fabienne et Samia ont elles choisi de distribuer 1 000 flyers en faisait du porte à porte pour faire connaître la cagnotte. Pas proche de la famille, Samia explique simplement  pour voir cette histoire et passer à côté sans rien faire, il faudrait ne pas avoir de cœur ».

« Sa vie, c’est le foot »

Un point de collecte de dons a également été mis en place au club de foot alréen. Séraphin fait partie de l’équipe U13.  Sa vie, c’est le foot. Il veut devenir Mbappé », assure Emilie Robin. Très doué dans son domaine, l’adolescent avait été sélectionné pour l’école de Vannes.  Le diagnostic est tombé le 16 avril. Le 17, il avait un entretien pour entrer à l’école de foot. Le jeune homme garde sa passion en vue, même dans la maladie.  Il a demandé à l’oncologue s’il pouvait toujours en faire. Sa seule préoccupation, c’est de reprendre le foot. Séraphin est très courageux. 

Si vous souhaitez faire un don, vous pouvez vous rendre sur le lien de la cagnotte Gofundme « Tous avec Tité » : www.gofundme.com

Une cagnotte physique est disposée au Bistro des Halles, 37, place de la République à Auray. Le club de foot FC Auray a également mis en place une cagnotte au stade Ty Coat.

 

OUEST FRANCE – l’article ici

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Trois mères de famille ont participé au Raid Amazones 2024

Trois mères de famille ont participé au Raid Amazones 2024

Anabelle, Sophie et Charlotte, trois mères de famille de Villeneuve d’Ascq, ont uni leurs forces et leur motivation pour participer à la 23ème édition du Raid Amazones, au Cambodge, fin novembre. Objectif : vivre une expérience unique et récolter des fonds au profit d’une association qui lutte contre les cancers pédiatriques. 

Elles sont rentrées du Cambodge début décembre après une expérience qui a marqué leur vie à jamais. Anabelle, Sophie et Charlotte sont toutes les trois mamans de trois enfants. Elles se sont d’ailleurs rencontrées à l’école de leurs enfants. Il y a un an, elles ont décidé de tout mettre en œuvre pour participer au Raid Amazones 2024 organisé au Cambodge.

 Anabelle Ducrocq : « Nous sommes toutes les trois assez sportives, nous partageons la même énergie, la même envie de profiter de la vie. Nous avions envie de vivre quelque chose ensemble, entre femmes. J’avais déjà entendu parler du Raid Amazones, un raid sportif 100% féminin, c’est tout ce que l’on recherchait. »

« La magie de ce raid, c’est la puissance des épreuves dans des sites plus incroyables les uns que les autres : les temples d’Angkor, le lac Tonlé Sap. Chaque jour, on partait en bus entre 3 et 4 heures du matin. Le départ des épreuves était donné à 6h au lever du jour, c’était magique. »

« Les épreuves sportives sont assez intenses. Le premier jour, on a commencé par un trail de 15 km. Nous avons aussi fait une course en canoë-kayak de 11 km, sur un lac autour duquel sont construits des villages sur pilotis. Il y avait aussi une épreuve de VTT, du tir à l’arc, ou une chasse au trésor au sein de trois temples. Le tout avec des nuits assez courtes et sous une chaleur écrasante : il faisait 28 degrés à 6 heures du matin, et jusqu’à 35 degrés au cours de la journée. »

« Être uniquement entre femmes pendant près de 10 jours, c’est une expérience assez incroyable. Certaines des 231 participantes ont des parcours assez lourds. Elles choisissent de faire ce raid après avoir traversé une épreuve difficile, après avoir fait face à un problème de santé. Il y a une bienveillance, une entraide exceptionnelle qui s’installe entre nous toutes. On n’est pas du tout dans un esprit de compétition. »

« Chaque équipe doit trouver des financements pour payer l’inscription au Raid, à savoir 12600 euros pour nous trois. Pendant 14 mois, nous avons organisé de nombreuses actions pour récolter des fonds : des ateliers, des conférences, des séances de zumba.

Nous avons réuni plus d’argent que nécessaire, donc on en a profité pour soutenir une cause : l’association Warrior Enguerrand, du nom de ce jeune nordiste mort d’une tumeur cérébrale en 2018, à l’âge de 13 ans. En tant que puéricultrice au CHU de Lille, la lutte contre les cancers pédiatriques me tient à cœur. Nous leur remettrons un chèque de plus de 2000€ le 25 janvier.« 

“Chaque après-midi, nous participions à des activités auprès de la population : des visites de rizières, des rencontres avec les enfants dans les écoles… On en a pris plein les yeux. La population cambodgienne était toujours bienveillante avec nous, les gens étaient souriants, chaleureux, très généreux. C’est une nation qui a une histoire douloureuse, notamment à cause du génocide dans les années 70. Plus récemment, l’économie cambodgienne a beaucoup souffert du Covid. Alors ils sont heureux de voir les touristes internationaux revenir dans leur pays.”

« Cette médaille nous a été remise à la fin des épreuves par Alexandre Debanne lui-même, c’est le créateur du Raid Amazones. La cérémonie a été très émouvante. Parmi les équipes de trois, on a fini 4ème donc nous sommes très fières, même si on n’y allait pas pour ça, ce n’est pas un raid dont le but est de performer. Notre trio a très bien fonctionné, on s’est toujours tiré vers le haut. À l’issue de cette expérience, nous avons l’impression d’avoir changé au plus profond de nous-mêmes. Il y a clairement un avant et un après Raid Amazones. »

Si vous souhaitez aider l’association, des dons sont possibles en suivant ce lien.

FRANCE 3 – l’article ici

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Cellules CAR-T : un essai prometteur contre les tumeurs solides

Cellules CAR-T : un essai prometteur contre les tumeurs solides

Une thérapie CAR-T [1] a permis de réduire les tumeurs cérébrales présentes chez de jeunes patients [2] et rétabli leur fonction neurologique. Pour l’un des participant à cet essai clinique menée par Stanford Medicine, la thérapie a permis d’effacer « toutes les traces détectables » du cancer du cerveau dont il était atteint, un cancer considéré en général comme incurable. Deux d’entre eux ont vu leurs symptômes diminuer sans que le volume global de la tumeur ne change. Ces résultats ont été publiés dans la revue Nature [3].

Un premier patient guéri ?

Sur les 11 participants qui ont reçu la thérapie CAR-T dans le cadre de l’essai, neuf ont montré des bénéfices [4]. Quatre ont vu le volume de leur tumeur réduit de plus de moitié. Et l’un de ces quatre participants, Drew, âgé de 20 ans, a obtenu une « réponse complète » : sa tumeur[5] a disparu des scanners cérébraux. Bien qu’il soit trop tôt pour dire s’il est guéri, il est en bonne santé quatre ans après le diagnostic.

Drew avait reçu un diagnostic de DIPG en novembre 2020, pendant sa première année de lycée. Il avait consulté un médecin en raison de maux de tête inhabituels, de mouvements bizarres de son œil gauche et d’une paralysie partielle du côté gauche de son visage. Quelques centaines d’enfants ou jeunes adultes reçoivent un tel diagnostic aux Etats-Unis chaque année, leur durée de survie médiane est d’environ un an [6]. La radiothérapie n’offre qu’un soulagement temporaire et il n’existe pas de traitement chimiothérapeutique efficace. Parce que leurs cellules malignes se mêlent aux cellules saines, les tumeurs ne peuvent pas être enlevées chirurgicalement.

Les cellules CAR-T sont approuvées par la Food and Drug Administration depuis 2017 pour traiter les cancers du sang, leur intérêt restait à démontrer contre les tumeurs solides (cf. Cellules CAR-T et leucémie : des résultats encourageants sur le long terme).

Des perspectives d’amélioration du traitement

Comme il s’agissait du premier essai sur l’homme de cellules CAR-T pour le DIPG, l’étude visait avant tout à évaluer la faisabilité du traitement et à surveiller les effets secondaires. En analysant la diminution de la taille des tumeurs chez les participants à l’essai, les chercheurs pensent que « l’excellente réponse de Drew n’est pas un coup de chance » et que de futurs patients pourraient retirer des bénéfices similaires.

L’équipe étudie actuellement les moyens d’améliorer la thérapie, par exemple en supprimant certains aspects de la réponse immunitaire aux cellules CAR-T qui pourraient « favoriser » la tumeur.

« Nous avons déjà formulé quelques hypothèses sur la manière d’améliorer les résultats, à la fois pour cette thérapie et plus généralement pour l’immunothérapie des cancers du système nerveux central », indique l’auteur principal de l’essai, Michelle Monje, professeur de neurologie à Stanford Medicine. « Bien que cet essai représente un progrès, nous avons encore du travail à faire pour diminuer la toxicité du traitement et améliorer les bénéfices pour les patients », précise le Dr Crystal Mackall, également co-auteur de l’étude.

GENETIQUE.ORG  – l’article ici

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[1] « L’objectif est de produire, à l’aide d’un gène introduit dans leur noyau, des « récepteurs antigéniques chimériques » (CAR) à la surface des lymphocytes T. Grace à ce récepteur, les cellules CAR-T sont capables de reconnaître les cellules tumorales et de se fixer dessus. La modification génétique permet également d’introduire un élément de « costimulation » qui permet à la cellule CAR-T de s’activer et d’attaquer la cellule cancéreuse un fois fixée sur elle. » (Source : Gustave Roussy, Les cellules CAR-T)

[2] L’âge médian des participants était de 15 ans et leurs tumeurs avaient été diagnostiquées en moyenne cinq mois avant qu’ils ne participent à l’essai.

[3] Michelle Monje et al, Intravenous and intracranial GD2-CAR T cells for H3K27M+ diffuse midline gliomas, Nature (2024). DOI: 10.1038/s41586-024-08171-9.

[4] une réduction du volume de leur tumeur, une amélioration de leur fonction lors d’un examen neurologique ou les deux

[5] Il était atteint d’un gliome pontique intrinsèque diffus, ou DIPG

[6] Les participants à l’étude ont vécu en moyenne 20,6 mois après le diagnostic, deux ont vécu plus de 30 mois.

Source : Medical Xpress, Stanford University Medical Center (13/11/2024)

Beaucoup de monde à la braderie solidaire des enfants

Beaucoup de monde à la braderie solidaire des enfants

Dimanche, la traditionnelle braderie des enfants a attiré la foule à Pont-à-Marcq.

Le temps d’une matinée, l’espace Casadesus s’est transformé en un vaste marché où nombre d’articles de puériculture, jouets, vêtements d’occasion ont été ainsi revendus à petits prix. « Une tendance de circonstances et qui s’amplifie », ont constaté Albertina Maire et Séverine Flament, élues de Pont-à-Marcq co-organisatrice de l’événement avec l’association locale Lolina, qui met en place des activités pour les petits.

Le temps d’une matinée, l’espace Casadesus s’est transformé en un vaste marché où nombre d’articles de puériculture, jouets, vêtements d’occasion ont été ainsi revendus à petits prix. « Une tendance de circonstances et qui s’amplifie », ont constaté Albertina Maire et Séverine Flament, élues de Pont-à-Marcq co-organisatrice de l’événement avec l’association locale Lolina, qui met en place des activités pour les petits.

Comme à chaque édition les bénéfices de la tombola et de la buvette, soit un peu plus de 500€, sont reversés à une association caritative ou solidaire. Cette année c’est Warrior Enguerrand qui a été choisie. Cette association nordiste lutte contre les cancers pédiatriques, et porte le prénom d’Enguerrand, jeune garçon de 13 ans foudroyé par la maladie en 2018.

 

LA VOIX DU NORD – l’article ici

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Un nouvel enfant est 100% guéri

Un nouvel enfant est 100% guéri

Après Lucas qui est guéri du #DIPG,
Découvrez Drew qui a fêté ses 20 ans et surtout qui, après un diagnostic de #gliomeinfiltrantdutronccerebral de grade 4, H3K27M, il y a 4 ans, est entièrement guéri lui aussi…

Voici son histoire :

https://www.facebook.com/michelle.monjedeisseroth

« On lui a diagnostiqué un DIPG il y a quatre ans, en novembre 2020, au cours de sa première année de lycée, après avoir souffert de maux de tête, de mouvements inhabituels de l’œil gauche et d’une paralysie partielle du côté gauche du visage. »

« La tumeur en croissance a affecté son audition, son équilibre et sa démarche. Il pouvait à peine marcher.
Il a reçu son premier traitement en juin 2021. Comme d’autres patients, il a souffert d’effets secondaires typiques : vomissements, frissons et aggravation des symptômes neurologiques tels que la perte d’équilibre.
La première dose de cellules a été administrée à tout son corps. La deuxième a été administrée directement dans son liquide céphalo-rachidien, tout comme les suivantes, qui ont eu moins d’effets secondaires.
Il a continué à aller au lycée pendant le traitement, bien qu’il ait suivi la plupart de ses cours à la maison. Au printemps de sa dernière année, il était suffisamment en bonne santé pour retourner à l’école, parcourant les couloirs avec un déambulateur à roulettes.
Il a obtenu son diplôme en mai 2022 à temps, avec ses camarades de classe et sans tumeur. Ses camarades de classe lui ont fait une ovation debout. »

« Drew est maintenant à l’université, où il se spécialise en foresterie et en chimie ».

« Le voir grandir sous nos yeux, s’épanouir, aller à l’université, choisir une spécialisation et voir qu’il va maintenant contribuer au monde », a déclaré Michelle Monje, neuro-oncologue :« cela renforce ma conviction que c’est possible et cela me donne beaucoup d’énergie. »
« C’est une maladie que l’on peut vaincre. Et maintenant, nous le voyons, alors nous pouvons continuer sur cette voie. »

« J’espère qu’ils tireront des leçons de mon succès pour aider d’autres enfants », déclare Drew. Sa famille pense aussi constamment à d’autres personnes confrontées au même diagnostic dévastateur. « De nombreuses pertes ont conduit à cette recherche », déclare le père de Drew. « J’espère que ces familles savent que ce succès est dû à elles. »

« A Fin de mes études, je recommence à courir » Drew!

« Le Dr Michelle Monje, le Dr Crystal Mackall et leur équipe ont annoncé cette semaine que notre ami Drew est maintenant à 4 ans post  diagnostic ET n’a plus de tumeur au niveau du tronc cérébral !!!
Nous avons besoin de plus de Drew !!

Pour chaque famille et chaque clinicien, infirmière, scientifique, fondation de financement et tous ceux qui aident de quelque manière que ce soit. Merci pour vos sacrifices durs et déchirants, pour que même un parent, comme celui de Drew, puisse respirer un peu plus facilement. »

 

https://eu.usatoday.com/story/news/health/2024/11/13/diffuse-intrinsic-pontine-glioma-dipg-brain-cancer-treatment/76229722007/

https://clinicaltrials.gov/study/NCT04196413?term=NCT04196413&rank=1

https://lpfch.org/impact-stories/tumor-research-breakthrough/