Une étude toulousaine vise à améliorer la prise en charge des enfants guéris d’une tumeur au cerveau mais qui ont pu conserver des séquelles cognitives à la suite des soins. Elle est menée par le service de radiothérapie de l’Institut universitaire du cancer de Toulouse Oncopole.

Chez l’enfant la tumeur cérébrale est soignée par chirurgie, radiothérapie et/ou chimiothérapie. Un protocole qui permet de guérir en moyenne 75 % des petits patients; mais peut entraîner des séquelles cérébrales et cognitives plus ou moins invalidantes (manque d’autonomie, troubles de la mémoire, difficultés d’apprentissage sévères…).

« Compte tenu des progrès importants qui ont été faits en matière de radiothérapie et d’imagerie, nous essayons désormais de mieux comprendre le lien entre la dose de radiothérapie délivrée à certains endroits du cerveau et les séquelles éventuelles », explique le Professeur Anne Laprie ; oncologue-radiothérapeute pédiatrique à l’Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT).

La Dépêche – pour lire la suite, cliquez  ici

Share This