Chacun peut courir pour la recherche contre le cancer des enfants

Chacun peut courir pour la recherche contre le cancer des enfants

Ce n’est pas le Covid qui va empêcher la solidarité. Et les parents d’Enguerrand, ce garçon de 13 ans décédé en 2018 d’un cancer foudroyant, sont bien décidés à mobiliser les troupes à l’occasion de Septembre en or, consacré au cancer pédiatrique. Depuis qu’ils ont créé l’association à la mémoire de leur fils, ils multiplient les actions et ont rejoint le collectif Grandir sans cancer afin de pouvoir influer sur les décisions gouvernementales.

Dans le contexte actuel, ils ont pris le parti d’organiser une course un peu particulière  : « L’idée est simple, explique Philippe Ladougne, papa d’Enguerrand. Chacun court où il veut et verse l’équivalent de la distance parcourue en euros via le site. Un kilomètre = 1 €.  » Depuis le début du mois de septembre, des centaines de gens se sont déjà mobilisées. « Il y a même un monsieur en Angleterre qui a couru dans son jardin ! »

Ce 26 septembre, Warrior Enguerrand organise aussi une vraie course à l’hippodrome de Marcq-en-Barœul, « dans le respect des exigences sanitaires, c’est-à-dire que les coureurs partent en ordre dispersé ». Même principe : un kilomètre couru = un euro.

Alors à vos baskets ! 100 % des fonds récoltés seront reversés au laboratoire de recherche de Samuel Megnian, qui travaille sur les tumeurs solides de l’enfant.

Course le 26 septembre à 15 h, à l’hippodrome de Marcq-en-Barœul. Renseignements et dons sur www.warriorenguerrand.com ou la page Facebook de l’association.

 

La Voix du Nord – l’article  ici

 

Un nouveau cas de cancer chez un enfant de 4 ans en Loire-Atlantique

Un nouveau cas de cancer chez un enfant de 4 ans en Loire-Atlantique

L’inquiétude des familles grandit après la découverte d’un nouveau cas de cancer chez un enfant de 4 ans en Loire-Atlantique. Le collectif « Stop aux cancers de nos enfants », constitué autour de Sainte-Pazanne, a lancé, mercredi 16 septembre, un appel au chef de l’Etat. « Nous en appelons au président Emmanuel Macron pour qu’il protège la santé de nos enfants », a déclaré Marie Thibaud, fondatrice du collectif, lors d’une conférence de presse organisée à Saint-Hilaire-de-Chaléons, près de Saint-Pazanne, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Nantes.

« Des enfants continuent à tomber malades, il faut que ça bouge », a poursuivi Mme Thibaud, précisant que le collectif avait appris le mois dernier qu’un petit garçon de 4 ans, domicilié à Machecoul, dans le même secteur, était atteint d’une leucémie. Selon le collectif, avec ce nouveau cas, vingt-deux enfants ont été atteints par un cancer à Sainte-Pazanne et dans ses environs depuis 2015 et, parmi eux, cinq sont morts. L’agence régionale de santé (ARS) dénombre pour sa part onze cas dans ce secteur entre 2015 et mars 2019, soit une incidence deux fois supérieure à la moyenne nationale.

« Ce différentiel s’explique par l’âge et la zone géographique retenus », précise Marie Thibaud, mère d’un petit garçon en rémission, qui avait été la première à alerter les autorités sur cette multiplication de cas dans cette zone. « Il ne se passe pas six mois sans qu’un enfant déclare un cancer autour de chez nous », a-t-elle insisté, évoquant également trois rechutes parmi les enfants atteints par ces cancers.

Le Monde – pour lire la suite de l’article cliquez  ici

L’appel de Donald TRUMP pour aider la recherche contre les cancers pédiatriques

L’appel de Donald TRUMP pour aider la recherche contre les cancers pédiatriques

L’enfance devrait être un moment de joie, de rire, d’innocence et d’émerveillement. Malheureusement, plus de 15 000 enfants et adolescents américains endurent la douleur, le chagrin et l’incertitude d’un diagnostic de cancer chaque année. Aujourd’hui, le cancer est la principale cause de décès par maladie au-delà de la petite enfance pour les jeunes de notre nation et, rien qu’en 2020, il devrait tuer environ 1 200 enfants de moins de 15 ans. Pendant le Mois national de la sensibilisation au cancer infantile, nous reconnaissons le courage et la force des enfants courageux qui luttent contre un diagnostic de cancer, et nous réaffirmons notre engagement à lutter contre les cancers pédiatriques et à soutenir ces enfants ainsi que leurs familles et amis dans leur lutte.

Au cours du dernier demi-siècle, des progrès substantiels ont été accomplis dans le diagnostic et le traitement de plusieurs types de cancer infantile. Pourtant, notre détermination à faire en sorte que chaque enfant puisse grandir sans cancer n’a jamais été aussi forte. Nous restons déterminés à mettre fin au cancer infantile et à continuer d’améliorer les soins que tous ces enfants reçoivent.

Pour atteindre ces objectifs, mon administration travaille avec le Congrès pour investir 500 millions de dollars au cours de la prochaine décennie afin de fournir aux meilleurs chercheurs et cliniciens de notre pays des opportunités sans précédent pour mieux comprendre, traiter et finalement guérir le cancer infantile. L’Institut national du cancer met en œuvre l’Initiative de données sur le cancer de l’enfant, qui recueillera, analysera et partagera des données pour faire avancer les percées sur le cancer pédiatrique. En outre, le programme d’oncologie pédiatrique de la Food and Drug Administration s’efforce d’accélérer le développement de nouveaux médicaments sûrs et efficaces pour traiter les cancers infantiles. Ces efforts stimuleront une innovation critique dans les diagnostics, les traitements et la prévention qui sauveront des vies.

Pendant le Mois national de la sensibilisation au cancer infantile, nous honorons la mémoire des précieux enfants et adolescents perdus à cause du cancer, et nous prions pour leurs familles et leurs amis alors qu’ils se souviennent de leurs proches. Nous réitérons notre engagement à apporter aide, compassion et encouragement à ces enfants qui sont au milieu d’une bataille difficile. Et nous réaffirmons notre admiration et notre respect pour les professionnels de la santé qui ont continué à travailler sans relâche pour ces enfants pendant la pandémie de coronavirus afin que chaque enfant puisse profiter d’un avenir rempli de promesses, de bonne santé et d’espoir.

EN FOI DE QUOI, j’ai ici mis la main ce trente et un août de l’année de notre Seigneur deux mille vingt, et de l’indépendance des États-Unis d’Amérique le deux cent quarante-cinquième.

 DONALD J. TRUMP

La Maison Blanche – l’article en anglais ici

La recherche avance, continuons avec « Septembre en Or » à financer

La recherche avance, continuons avec « Septembre en Or » à financer

Un nouveau traitement contre le cancer commence à faire ses preuves. Il s’agit d’un traitement à base de cellules CAR-T. Celles-ci sont modifiées génétiquement pour cibler la protéine HER2, qui se trouve à la surface de 75 % des cellules cancéreuses. L’essai clinique a été effectué sur « un enfant atteint d’un rhabdomyosarcome, une forme de cancer du muscle, qui s’était propagé à la moelle osseuse ». L’enfant a eu six mois de rémission de cancer après le premier traitement et cela fait 19 mois qu’il est en rémission depuis le deuxième traitement. L’essai clinique a été mené par des chercheurs du Baylor College of Medicine, du Texas Children’s Hospital et du Houston Methodist Hospital, et publié dans la revue Nature Communications.

Génétique.org – pour lire la suite de l’article, cliquez  ici

Les chercheurs de Gustave-Roussy créent des mini-cerveaux pour lutter contre les cancers de l’enfant

Les chercheurs de Gustave-Roussy créent des mini-cerveaux pour lutter contre les cancers de l’enfant

Il ne pense pas, ne guide aucun mouvement ou émotion. Et pourtant, ce cerveau-là est peut-être l’une de clés pour mettre à mal les cancers qui s’attaquent à 2 500 enfants par an. Ou plutôt ces « mini-cerveaux ». Des organoïdes, créés en laboratoire pour faire apparaître la copie parfaite de la tumeur des patients, trop petits pour être confrontés à de telles maladies.

 L’institut Gustave-Roussy de Villejuif (Val-de-Marne) mise sur le développement de ces avatars, notamment contre le gliome infiltrant du tronc cérébral. « Parce qu’il est incurable et que c’est donc un vrai challenge, synthétise le Dr Jacques Grill, spécialiste de ce cancer. Nous devons mieux comprendre pourquoi certains enfants en souffrent et pas leur copain. » Prochaine étape : en mettre au point des autologues, dans leur environnement, avec la reproduction du système immunitaire du patient.

Le Parisien – lire la suite de l’article  ici

Mieux comprendre les tumeurs pédiatriques pour mieux les cibler

Mieux comprendre les tumeurs pédiatriques pour mieux les cibler

Chaque année en France, plus de 2500 cas de cancer sont diagnostiqués chez les enfants, adolescents et jeunes adultes. Malgré des progrès considérables permettant d’obtenir aujourd’hui une guérison d’environ 80% des patients, le cancer reste la 2ème cause de mortalité chez l’enfant de plus d’un an en France, et ce après les accidents. 

Le Centre Oscar Lambret, centre référent pour les tumeurs pédiatriques, accueille tous les enfants, adolescents et jeunes adultes de 0 à 25 ans, de la région des Hauts de France, atteints d’une tumeur solide pédiatrique : 600 patients sont ainsi suivis chaque année par les équipes du Centre. 

Dans le but de faire progresser la recherche sur ces tumeurs, le Centre a ainsi fait le choix d’intégrer une équipe de recherche fondamentale et préclinique dédiée, qu’il finance par des fonds propres et grâce au soutien de nos donateurs et mécènes. 

Les gliomes pédiatriques, sous la loupe de l’UTRT

Bien que relativement rares, les tumeurs cérébrales comptent parmi les tumeurs solides pédiatriques les plus fréquentes. Parmi elles, les gliomes de haut grade localisés au tronc cérébral (GITC) sont particulièrement agressifs avec un pronostic des plus sombres, à savoir une médiane de survie d’environ un an et ce sans réelle amélioration ces 50 dernières années. Ces tumeurs, invasives et localisées au tronc cérébral, sont en effet inopérables et peu ou pas répondeuses à la chimio et à la radiothérapie. Très différents des gliomes de l’adulte d’un point de vu histologique et moléculaire, et compte tenu de leur relative rareté, la connaissance des GITC demeure cruellement insuffisante et impose une recherche qui lui est propre. 

Centre Oscar Lambret – lire la suite de l’article ici