Les chercheurs de Gustave-Roussy créent des mini-cerveaux pour lutter contre les cancers de l’enfant

Les chercheurs de Gustave-Roussy créent des mini-cerveaux pour lutter contre les cancers de l’enfant

Il ne pense pas, ne guide aucun mouvement ou émotion. Et pourtant, ce cerveau-là est peut-être l’une de clés pour mettre à mal les cancers qui s’attaquent à 2 500 enfants par an. Ou plutôt ces « mini-cerveaux ». Des organoïdes, créés en laboratoire pour faire apparaître la copie parfaite de la tumeur des patients, trop petits pour être confrontés à de telles maladies.

 L’institut Gustave-Roussy de Villejuif (Val-de-Marne) mise sur le développement de ces avatars, notamment contre le gliome infiltrant du tronc cérébral. « Parce qu’il est incurable et que c’est donc un vrai challenge, synthétise le Dr Jacques Grill, spécialiste de ce cancer. Nous devons mieux comprendre pourquoi certains enfants en souffrent et pas leur copain. » Prochaine étape : en mettre au point des autologues, dans leur environnement, avec la reproduction du système immunitaire du patient.

Le Parisien – lire la suite de l’article  ici

Mieux comprendre les tumeurs pédiatriques pour mieux les cibler

Mieux comprendre les tumeurs pédiatriques pour mieux les cibler

Chaque année en France, plus de 2500 cas de cancer sont diagnostiqués chez les enfants, adolescents et jeunes adultes. Malgré des progrès considérables permettant d’obtenir aujourd’hui une guérison d’environ 80% des patients, le cancer reste la 2ème cause de mortalité chez l’enfant de plus d’un an en France, et ce après les accidents. 

Le Centre Oscar Lambret, centre référent pour les tumeurs pédiatriques, accueille tous les enfants, adolescents et jeunes adultes de 0 à 25 ans, de la région des Hauts de France, atteints d’une tumeur solide pédiatrique : 600 patients sont ainsi suivis chaque année par les équipes du Centre. 

Dans le but de faire progresser la recherche sur ces tumeurs, le Centre a ainsi fait le choix d’intégrer une équipe de recherche fondamentale et préclinique dédiée, qu’il finance par des fonds propres et grâce au soutien de nos donateurs et mécènes. 

Les gliomes pédiatriques, sous la loupe de l’UTRT

Bien que relativement rares, les tumeurs cérébrales comptent parmi les tumeurs solides pédiatriques les plus fréquentes. Parmi elles, les gliomes de haut grade localisés au tronc cérébral (GITC) sont particulièrement agressifs avec un pronostic des plus sombres, à savoir une médiane de survie d’environ un an et ce sans réelle amélioration ces 50 dernières années. Ces tumeurs, invasives et localisées au tronc cérébral, sont en effet inopérables et peu ou pas répondeuses à la chimio et à la radiothérapie. Très différents des gliomes de l’adulte d’un point de vu histologique et moléculaire, et compte tenu de leur relative rareté, la connaissance des GITC demeure cruellement insuffisante et impose une recherche qui lui est propre. 

Centre Oscar Lambret – lire la suite de l’article ici

 

Collecte de fonds sur Facebook pour l’association

Collecte de fonds sur Facebook pour l’association

Philippe LADOUGNE, père d’Enguerrand et Président de l’association Warrior Enguerrand, lève des fonds via facebook pour l’association. 

Vous pouvez vous joindre à lui pour soutenir cette belle cause qu’est  la lutte contre le cancer pédiatrique.  Vous pouvez aussi de votre côté, sur votre page facebook, lever une collecte de fonds auprès de vos amis (pour un anniversaire par exemple), pour cela rien de plus simple cliquez sur le lien ci-dessous.

L’association Warrior Enguerrand aide la recherche grâce à la générosité des donateurs. En toute transparence, elle obéit à des procédures et des contrôles qui garantissent la qualité de sa gestion et permettent à ses donateurs d’être parfaitement informés de l’utilisation de leurs dons.

Merci pour votre soutien. 

Aide au financement de la recherche sur les gliomes infiltrants du tronc cérébral.

Une course en souvenir d’Enguerrand

Une course en souvenir d’Enguerrand

Les participants furent nombreux à venir se présenter à la table installée sur le bord de la piste par l’association Warrior Enguerrand. Ils venaient remettre leurs dons, en fonction des kilomètres parcourus durant la course organisée par l’association. Mais très vite la générosité des participants faisait fi de l’idée de départ. Comme le souligne Philippe Ladougne, «c’est la première fois que l’on organise cette course et cette date me tenait à cœur car mon fils est parti il y a pile deux ans ».

La Voix du Nord – pour lire l’article cliquez  ici

Un nouveau médicament pour éviter la chimiothérapie

Un nouveau médicament pour éviter la chimiothérapie

Un médicament révolutionnaire sans effets secondaires permet à un petit garçon atteint d’une tumeur maligne rare d’éviter la chimiothérapie.

« On n’a jamais parlé de rémission dans le cas de Gabriel. [Aujourd’hui], mon fils peut enfin avoir une vie d’enfant », soupir de soulagement Audrey Moreau, la mère du petit Gabriel Richard.

Aujourd’hui âgé de 4 ans, son enfant a reçu un diagnostic de tumeur maligne de stade quatre, le plus grave des stades. La tumeur s’était logée dans sa moelle épinière alors qu’il n’avait que quatre mois.

Selon Sébastien Perreault, le neuro-oncologue qui s’occupe de son dossier, on ne pouvait enlever la tumeur, car l’opération pour la retirer comportait trop de risques, et l’enfant aurait pu devenir paralysé.

« Lorsqu’il s’agit de ton enfant, ça fait très mal à entendre », assure la femme de 33 ans, qui est orthopédagogue.

Journal de Montréal – pour lire l’article cliquez  ici

L’entrectinib, une arme multicible pour des cancers pédiatriques

L’entrectinib, une arme multicible pour des cancers pédiatriques

Face au cancer, les thérapies ciblées permettent de bloquer un mécanisme de croissance propre à certaines cellules cancéreuses. Une fois les patients sélectionnés (leur tumeur présentant cette particularité à cibler), l’action thérapeutique est efficace et moins toxique. Aujourd’hui, cette démarche largement intégrée à la prise en charge du cancer chez l’adulte (pour le cancer du sein, du poumon, du côlon…) mais pas chez l’enfant car peu de ces médicaments ont été autorisés en pédiatrie.

 Mais aujourd’hui en Europe et aux Etats-Unis, les cancers pédiatriques ne répondant pas aux traitements conventionnels ou aux cancers de mauvais pronostic font l’objet de recherches cliniques permettant de savoir si ces tumeurs peuvent bénéficier de traitements éprouvés chez l’adulte.

 Doctissimo – lire la suite ici