Dans le Haut-Jura, l’enquête épidémiologique sur les cas de cancers pédiatriques déçoit les familles

Dans le Haut-Jura, l’enquête épidémiologique sur les cas de cancers pédiatriques déçoit les familles

C’est un cluster de cas de cancers pédiatriques. Dans le Haut-Jura, quatre communes ont regroupé 13 cas de cancers chez des enfants entre 2011 et 2019. Une statistique inquiétante qui a poussé l’Agence régionale de santé a mené une enquête épidémiologique pour détecter un éventuel facteur à l’origine de ces cas.

Mais l’enquête, récemment bouclée par l’ARS, n’a débouché sur aucun résultat concret. Ce qui exaspère les familles des enfants victimes de cancers. « Cela a été un espoir pour nous. On s’est dit : « Peut-être qu’on va enfin réussir à trouver quelque chose qui montre que les enfants sont plus sensibles pour telle ou telle raison ». Mais là, au final, on ne retient rien du tout. Ils ont fait leur travail, mais ça n’est pas suffisant », raconte Didier Rigoulot, père d’un enfant concerné.

 D’autres parents demandent des investigations plus poussées avec davantage de recherches sur le terrain pour étudier des échantillons de terre dans les jardins des familles touchées par exemple. Le rapport définitif de l’ARS doit être rendu dans les prochains jours.

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Warrior Enguerrand vous souhaite une belle année 2021!

Warrior Enguerrand vous souhaite une belle année 2021!

Toute l’équipe de Warrior Enguerrand vous souhaite une belle année 2021.

Qu’elle soit la plus douce possible, remplie de joies, d’amour, de rencontres et d’échanges. Qu’elle offre à tous nos enfants malades de l’espoir dans la guérison, de jolis rêves à réaliser, des sourires et des rires avec leurs proches.

Une nouvelle année commence et Warrior Enguerrand continuera à se battre pour faire reculer le cancer pédiatrique, cela reste une priorité encore pour 2021. Notre association continue avec dynamisme à vos côtés à participer au maintien et à l’amélioration de la qualité de la vie des enfants. Nous espérons vous compter encore longtemps parmi nos adhérents, bénévoles et partenaires.

Nous vous remercions pour votre engagement, l’année 2020 a été difficile pour nous tous mais grâce à vous, à votre générosité, à votre présence, vous nous avez permis de continuer à aider la recherche contre le cancer pédiatrique.

Que vos vœux se réalisent, belle année 2021 à vous tous !

Impact des ondes. Les « effets cocktails » de plusieurs facteurs, selon l’élue de Loire-Atlantique

Impact des ondes. Les « effets cocktails » de plusieurs facteurs, selon l’élue de Loire-Atlantique

Sandrine Josso est la rapporteure de la commission parlementaire « Santé environnementale » depuis le mois de juillet. Elle met la touche finale à ce rapport (il sera rendu mercredi à l’Assemblée) qui est la synthèse obtenue à partir de 70 auditions. La santé environnementale est l’impact de l’Homme sur l’environnement, faune et flore, et ses conséquences sur sa propre santé et sur tous les êtres vivants.

Sandrine Josso n’est pas experte en éoliennes, mais on peut imaginer que l’addition de plusieurs facteurs, pollutions de l’air, du sol, pesticide, ondes… causent des dommages. Tout cela n’est pas bon, notamment à certains âges de la vie, chez la femme enceinte, les enfants en bas âge, ou des gens très sensibles. Nous ne sommes pas tous égaux par rapport à ces perturbations.

La députée est très attentive aux cas de cancers pédiatriques de Sainte-Pazanne : Dans le suivi des cas, on avait tendance à isoler les facteurs plutôt que de les regarder ensemble. Et n’oublions pas que la pollution de l’air tue chaque année entre 48 000 et 67 000 personnes en France.

OUEST FRANCE – l’article  cliquez  ici

Cancers pédiatriques : les parcs éoliens inquiètent le collectif de Sainte-Pazanne

Cancers pédiatriques : les parcs éoliens inquiètent le collectif de Sainte-Pazanne

Par principe de précaution, le collectif Stop aux cancers de nos enfants s’oppose à quatre projets de parcs éoliens en cours dans le secteur du cluster.

« Pas question de dire que l’éolien déclenche à lui seul des cancers chez les enfants, insiste en préambule le collectif Stop aux cancers de nos enfants, créé à Sainte-Pazanne en mars 2019. Mais il est important de le prendre en compte comme un facteur de risque. »

Ces membres du collectif, qui travaillent inlassablement au sein de commissions pour tenter de comprendre pourquoi il y a autant d’enfants malades dans ce secteur, notent malgré tout un fait précis : les cancers pédiatriques qu’ils ont recensés débutent en 2015, peu de temps après l’implantation de trois parcs éoliens à Sainte-Pazanne, Saint-Hilaire-de-Chaléons et Bourgneuf-en-Retz. Des éoliennes toutes reliées au poste source électrique de Sainte-Pazanne, situé en plein cœur du bourg de Sainte-Pazanne, tout près de l’école privée.

OUEST FRANCE – pour lire l’article entier (payant) cliquez  ici

Le dernier Noël de Noah

Le dernier Noël de Noah

La mère d’un enfant de 7 ans victime d’un cancer incurable du cerveau souhaite qu’il reçoive une pluie de cartes de Noël afin d’ajouter une touche de magie à son dernier temps des Fêtes.

« On a des bâtons dans les roues par la pandémie afin de réussir à faire quelque chose de grandiose et de magique pour Noël. C’est épouvantable de penser que son dernier temps des Fêtes est altéré par le virus », lance Karine Simard, la mère de Noah Mercier.

Par crainte de contracter la COVID-19, elle ne sait toujours pas si son enfant aura l’occasion de voir toute sa grande famille pour Noël. C’est en voyant son fils heureux d’ouvrir ses premières cartes de Noël, envoyées par des proches, qu’elle a eu envie de susciter « une grande vague d’amour ».

« Je me suis dit qu’on pourrait faire ça plus gros, dit celle qui s’est fixé comme objectif de recevoir 300 cartes. Je veux juste le voir sourire, car ça commence à être plus difficile. »

Il y a un an, Noah était en parfaite santé. Du jour au lendemain, il s’est mis à souffrir de difficultés motrices. « C’est comme s’il était en état d’ébriété. Il était étourdi et tombait en marchant », raconte Mme Simard. Elle a alors rapidement amené son fils pour une consultation à l’hôpital Sainte-Justine.

Le Journal de Montréal – pour lire tout l’article cliquez  ici

Une étude toulousaine pour mieux suivre les enfants guéris de tumeurs cérébrales

Une étude toulousaine pour mieux suivre les enfants guéris de tumeurs cérébrales

Une étude toulousaine vise à améliorer la prise en charge des enfants guéris d’une tumeur au cerveau mais qui ont pu conserver des séquelles cognitives à la suite des soins. Elle est menée par le service de radiothérapie de l’Institut universitaire du cancer de Toulouse Oncopole.

Chez l’enfant la tumeur cérébrale est soignée par chirurgie, radiothérapie et/ou chimiothérapie. Un protocole qui permet de guérir en moyenne 75 % des petits patients; mais peut entraîner des séquelles cérébrales et cognitives plus ou moins invalidantes (manque d’autonomie, troubles de la mémoire, difficultés d’apprentissage sévères…).

« Compte tenu des progrès importants qui ont été faits en matière de radiothérapie et d’imagerie, nous essayons désormais de mieux comprendre le lien entre la dose de radiothérapie délivrée à certains endroits du cerveau et les séquelles éventuelles », explique le Professeur Anne Laprie ; oncologue-radiothérapeute pédiatrique à l’Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT).

La Dépêche – pour lire la suite, cliquez  ici